Réponse à Séverine Tessier et Jean-Christophe Picard sur Mediapart

Publié le par Jean-Pierre Roux

 

Depuis plusieurs mois des journaux de toutes tendances, dont le « Canard Enchaîné », se font l’écho des dissensions qui règnent à Anticor. Celles-ci ne datent pas d’hier, puisque déjà en 2014,  Anticor a connu des querelles internes qui se sont traduites par une mise en accusation du bureau par une partie du  Conseil d’Administration, pour justement des problèmes de démocratie touchant le fonctionnement interne d’Anticor. Cela s’est traduit par un jugement qu’Anticor a perdu.

Ce qui se passe à Anticor me navre et me plonge dans une profonde tristesse, car effectivement nous avons besoin de ce genre d’association qui demande des changements profonds dans la manière de faire de la politique. Ces changements ont pour socle d’airain, la transparence et l’éthique.

Ces exigences que réclame Anticor depuis sa fondation à la classe politique en 2003, imposent à tous ses membres et tout particulièrement aux membres du Conseil d’administration le respect de ces mêmes valeurs.

La transparence du financement d’Anticor fait partie intégrante de ces exigences. Et le fait d’y déroger en s’abritant derrière une loi, fait partie de l’arsenal des arguments de mauvaise foi  que combat Anticor depuis sa création.

Sur ce sujet, nous citoyens, devons être d’une exigence sans faille, comme doit l’être Anticor avec elle-même, car Anticor ce n’est pas n’importe quelle association. Elle doit être irréprochable et toujours deux pas en avant sur les lois en cours.

Jean-Pierre Roux

Ancien Président des « Amis d’Anticor » association créée en 2005 pour soutenir Anticor

Premier Président d’Anticor en 2008 après la fusion des « Amis » et d’Anticor

 

 

 

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